lundi 26 février 2018


Le monde du courtage ... assurance ... crédit mais aussi placement !

Depuis quelques années maintenant , nous avons en Belgique affaire à des agents de banque mais aussi à des courtiers bancaires. Le consommateur peut s’adresser aux deux pour ses affaires bancaires et ses investissements. Et pourtant, il existe bel et bien une différence de taille : alors que l’agent de banque vend exclusivement les produits bancaires et d’investissement d’une seule banque, le courtier bancaire peut proposer des produits de plusieurs organismes bancaires . Ainsi, il peut investiguer les différents établissements financiers à la recherche du ou des produits adéquats pour son client. Si le client est sensible à un tarif concurrentiel, un beau rendement ou une formule spécifique ; le tout en fonction de son profil d'investisseur ( prudent ... un peu moins ... aventurier .... ) , le courtier bancaire n’est pas limité dans son choix et peut répondre aux besoins du client toujours dans le respect des règles et du profil d'investisseur bien évidemment.
La loi a changé en 2006 et le statut de courtier en placement est apparu ...
En assurances, une distinction existe entre les intermédiaires exclusifs et non exclusifs depuis des années déjà : d’une part vous avez l’agent qui est lié à une société d’assurance ( par exemple PV ou LAP ) , et d’autre part, vous avez le courtier, qui peut faire le tour des assureurs. C’est justement cette indépendance qui sert d’atout aux courtiers en assurances : ils garantissent à leurs clients la meilleure solution, quels que soient leurs besoins dans une transparence complète comme le prévoit MIFID et la réglementation europééenne ...
Suis-je , en tant que client d’un courtier bancaire, bien protégé?
Qu’en est-il du courtier bancaire ? Quelles garanties peut-il offrir au client ? Et bien, il y en a bien quelques-unes. Tout d’abord, on ne peut pas devenir courtier bancaire comme cela. Il faut s’inscrire en tant que tel, à la Commission Bancaire, Financière et des Assurances (CBFA), qui exerce le contrôle. De plus, il faut pouvoir présenter des garanties concernant son intégrité et ses connaissances professionnelles (formation). En d’autres termes, si vous n’y connaissez rien en affaires bancaires, vous ne deviendrez pas un courtier bancaire aussi facilement
En outre, le courtier bancaire doit aussi pouvoir prouver la solidité de sa structure financière. Ce qui a lieu à l’aide d’une garantie bancaire. Enfin, chaque courtier bancaire est obligé de souscrire une assurance responsabilité professionnelle.
Peut-on combiner l'activité courtier bancaire et courtier d’assurance ?
Un courtier bancaire propose des services bancaires et d’investissement, mais peut les combiner avec une offre de produits d’assurance, tant qu’il existe une distinction claire pour le consommateur. L’intermédiaire fait ceci soit en tant qu’agent d’assurance, soit en tant que courtier d’assurance. Dans le premier cas, sa gamme de produits comprend des produits bancaires et d’investissements de différentes banques, mais des assurances d’un seul assureur. S’il combine le courtage bancaire avec le statut de courtier d’assurances, alors il a aussi bien pour les produits bancaires que pour les produits d’assurance, le libre choix entre différents établissements financiers. En d’autres termes, un courtier bancaire peut simultanément être agent d’assurance ou courtier d’assurance.
La combinaison courtier bancaire et agent de banque n’est bien entendu pas possible, vu que l’un peut travailler avec différents établissements financiers alors que l’autre est lié à un établissement. Une contradiction qui ne peut être résolue. Ce cumul est donc impossible, tout comme la combinaison de courtier d’assurance et d’agent d’assurance.
Pour être complet, nous ajouterons encore que les courtiers d’assurance sont souvent aussi des agents bancaires. Ils offrent alors des produits d’assurance de différentes sociétés mais des produits bancaires d’une seule banque.
L'obligation "No Cash"
Ce qui ne signifie toutefois pas que les courtiers bancaires n’ont pas un grand potentiel de clients. Pour ceux qui optent pour le statut de courtier bancaire, travailler sans liquide ne présente absolument aucun problème. Ils ne se profilent pas comme des filiales bancaires traditionnelles, mais plutôt comme des conseillers personnels en investissement, en transfert de patrimoine, en épargne-pension et en succession. Toutes les transactions d’argent nécessaires dans ces cas, ont lieu par virements bancaires. De plus, les banques tentent aussi de limiter les nombreuses transactions de liquide. Pensez par exemple à la mise en service des self-bank et des ATM. Ce fonctionnement sans liquide présente aussi l’avantage pour le courtier bancaire de ne pas devoir répondre aux obligations sécuritaires d'une agence bancaire lambda.

mercredi 21 février 2018



Le courtier 2.0 est-il la solution idéale pour demain ?

A notre époque la présence virtuelle 7/24 est devenue une obligation au risque de disparaître du paysage financier prochainement.
Mais à quel prix ? De quelle manière se différencier ? Quelle est la plus value pour le client ?

Les obligations légales européennes ou simplement nationales obligent le courtier 2.0 à donner accès 7/24 aux informations qu'il détient sur son client avec possibilité pour lui de les corriger , amender ou faire effacer ... Le système "Mybroker" implémenté sur le site web autorise ce genre d'option tout en respectant les règles en vigueur.

Mais au-delà de ces obligations , le site web du courtier 2.0 doit permettre de tarifer , de souscrire , le cas échéant l'assurance immédiatement ; ce qui est primordial pour des assurances voyage type Europ Assistance par exemple ...

Les tarifications en ligne permettent une économie de temps pour le courtier et son équipe tout en laissant au client ou prospect tout le loisir de simuler à son aise les tarifs.

Une information claire est également primordial , la plus complète possible avec dans certains cas , un lien direct vers les conditions générales de telle ou telle compagnie peut être un plus sans jamais remplacer le courtier physique.

Des moyens de contact direct comme un "bouton d'urgence" sont également à privilégier sur un site moderne.

L'historique du bureau ainsi que la liste de ses partenaires compléteront agréablement un site 2.0 digne de ce nom.

www.jergeay-votrecourtier.be est l'illustration de ce qui précède

Bonne découverte et merci pour votre attention

Pierre Jergeay , courtie